Cet ingénieur du son était contrôlé au volant de son véhicule en possession de résine de cannabis. Les gendarmes le soumettaient au test salivaire de dépistage des stupéfiants. Résultat : contrôle positif au cannabis.
Il était placé en garde à vue pendant 8 heures et ressortait du poste de gendarmerie avec 2 documents :
- Administratif/ Une suspension du permis de conduire prise par le Préfet pour une durée de 6 mois (Formulaire 3F ; feuillet vert) ;
- Pénal / Une convocation devant le 4 Correctionnel pour répondre de l’infraction de conduite sous l’empire de stupéfiants (Article L. 235-1 du Code de la Route).
Les sanctions maximales prévues par la loi pénale pour une conduite sous l’empire de stupéfiants sont :
En sortant du commissariat, il prenait rendez-vous avec le cabinet IOSCA (avocats code de la route) pour préparer sa défense.
Le cabinet IOSCA (avocats permis de conduire) agissait alors en 2 temps :
- Administratif/ Contestation de la suspension du permis de conduire de 6 mois (3F) auprès de la Préfecture et du 4 Administratif ;
- Pénal / Défense sur les vices de procédure devant le 4 Correctionnel.
À la fin de l’histoire, le client du cabinet IOSCA (avocats droit routier) a été relaxé par le 4 Correctionnel. Il n’avait pas bénéficier du droit à la contre expertise sur le test salivaire.
Il a pu reprendre la tournée des concerts dans sa région.