La carte grise à son nom : ne soyez ni un idiot, encore moins une victime !


Si vous avez peur de votre ombre juridique, pensez que le système du permis de conduire est juste et infaillible, que seul l’automobiliste ou le motard commet des erreurs, ne lisez pas ce qui suit ! Retournez paisiblement à la chaleur somnolente de votre insouciance, l’Etat vous protège et vous rackette !

En revanche, si dans le respect de la loi française et d’une morale raisonnée parce qu’éduquée, vous cherchez à optimiser vos droits, vous avez à cœur d’organiser la défense en amont de votre permis de conduire (outil professionnel et social) cet article a été écrit pour vous !

Vous trouverez ici une des options concernant la carte grise de votre véhicule. Car l’Etat vous le dira mieux que moi : apparaître béatement en nom sur la carte grise de votre véhicule fait de vous un imbécile heureux !

Il s’agit d’un des moyens, parfaitement légaux, de gripper le système, de bloquer le rouage, d’anesthésier le bras financier et vengeur de l’Etat affamé.

Immatriculez votre véhicule hors de France !

Aucun texte de loi ne vous fait obligation d’inscrire administrativement votre moto ou automobile dans l’hexagone : profitez-en avec la certitude que ce qui n’est pas interdit est légal !

LE PLUS : vous n’entendrez plus jamais parler des :

LE MOINS : vous n échapperez pas aux infractions relevées avec interpellation, votre identité notée lors du contrôle et la contravention donnée en main propre ou adressé à votre nom à votre domicile.

ASTUCE : Privilégier un pays non-francophone. Profitez des difficultés techniques et humaines de coopération entre les services de police des deux pays.

ATTENTION : Vérifiez que votre assurance couvre bien le véhicule étranger roulant en France. Certaines assurances font de cette spécificité une cause d’exonération de garantie.

Mettez la carte grise au nom d’une société française

Il faut créer des tampons juridiques, des paravents légaux entre les retraits de points et vous !

Comme nous l’avons vu, immatriculer sa voiture à l’étranger est parfois compliqué, coûteux et difficile à mettre en œuvre. Ce second volet vous propose une alternative plus facile et aisée de mise en œuvre : inscrire votre véhicule (automobile ou moto) dans le bilan de votre société.

Le véhicule ainsi couvert bénéficiera alors d’une carte grise au nom d’une entreprise. Son intérêt réside dans l’absence de renseignement sur l’identité précise de son propriétaire et du conducteur.

LE PLUS : cette « ficelle juridique » permet d’échapper à la perte de points résultant des radars automatiques de vitesse et de feux rouge.
Payez immédiatement la contravention minorée adressée à la société sans vous soucier de votre capital de points : ils ne sera pas amputé, la société est une personne morale différente de vous.

LE MOINS : en cas d’excès de vitesse « violent », les gendarmes peuvent être mandatés pour se rendre au siège de la société dans le but de faire « cracher » le nom du conducteur habituel du bolide à la standardiste (éventualité rarissime).

LA REPONSE : « Comme vous le savez, la loi ne nous oblige pas à tenir un cahier d’attribution ou de prêt de véhicule, je ne puis vous dire qui conduisait ce véhicule ce jour ci, merci et au revoir Messieurs ». La réponse se doit d’être toujours polie, ferme et parfaitement légal !.

INTERVENTIONS

Maître Iosca intervient dans les plus grands médias français

Avocat permis : Auto plus
Avocat permis : Le Figaro
Avocat permis : Le Monde
Avocat permis : Le Parisien
Avocat permis : Sport Auto
Avocat permis : Capital